His Dark Materials
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-50%
Le deal à ne pas rater :
-50% Baskets Nike Air Huarache Runner
69.99 € 139.99 €
Voir le deal

Partagez
 

I show you my world, then you show me yours Ϟ Wylou

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Myosotis Kavalier
Myosotis Kavalier
JORDAN COLLEGE
• éducation exemplaire

ı PSEUDO : Camille
ı MESSAGES : 28
ı ARRIVEE : 06/11/2012
ı AVATAR : Evan Peters
ı CREDITS : honeycomb
ı DC : //
ı QUOTE : It isn't enough for your heart to break because everybody's heart is broken now. Allen Ginsberg
ı JUKEBOX : Bob Dylan - Blowin' in the wind

ı ÂGE DU PERSONNAGE : 17 ans
ı OCCUPATION : étudiant à Jordan College
ı PARTICULARITES : son jumeau a disparu depuis près de trois ans maintenant, mais il en souffre encore Ϟ il a beau être mignon, il n'en est pas moins manipulateur Ϟ il est très doué au violon Ϟ il passe son temps à faire l'école buissonnière Ϟ il adore peindre et a un atelier clandestin dans sa maison Ϟ il hait à peu près tout des riches et de l'aristocratie, même s'il en fait partie Ϟ ses parents le forcent à prendre des remèdes à la valériane pour gérer sa colère Ϟ il a une santé très fragile Ϟ son dæmon est un falabella mâle prénommé Kari Ϟ il ne se le cache pas, il sait qu'il préfère les hommes, mais ne le crie pas sur tous les toits Ϟ il a une fiancée, désignée par sa famille


MILLE SECRETS
En ce moment, je suis: dans l'Hiver Perpétuel
Inventaire:

I show you my world, then you show me yours Ϟ Wylou  Empty
MessageSujet: I show you my world, then you show me yours Ϟ Wylou    I show you my world, then you show me yours Ϟ Wylou  EmptyMer 28 Nov - 20:02

I show you my world, then you show me yours
Wylan Velázquez - Myosotis Kavalier
MONDE : l'Hiver Perpétuel
LIEU : la cour de Jordan College
HEURE : aux alentours de midi
TEMPS : il fait froid mais beau
INTERVENTION DU PNJ SPECTRE : Non
STATUT DU SUJET : Privé
Revenir en haut Aller en bas
Myosotis Kavalier
Myosotis Kavalier
JORDAN COLLEGE
• éducation exemplaire

ı PSEUDO : Camille
ı MESSAGES : 28
ı ARRIVEE : 06/11/2012
ı AVATAR : Evan Peters
ı CREDITS : honeycomb
ı DC : //
ı QUOTE : It isn't enough for your heart to break because everybody's heart is broken now. Allen Ginsberg
ı JUKEBOX : Bob Dylan - Blowin' in the wind

ı ÂGE DU PERSONNAGE : 17 ans
ı OCCUPATION : étudiant à Jordan College
ı PARTICULARITES : son jumeau a disparu depuis près de trois ans maintenant, mais il en souffre encore Ϟ il a beau être mignon, il n'en est pas moins manipulateur Ϟ il est très doué au violon Ϟ il passe son temps à faire l'école buissonnière Ϟ il adore peindre et a un atelier clandestin dans sa maison Ϟ il hait à peu près tout des riches et de l'aristocratie, même s'il en fait partie Ϟ ses parents le forcent à prendre des remèdes à la valériane pour gérer sa colère Ϟ il a une santé très fragile Ϟ son dæmon est un falabella mâle prénommé Kari Ϟ il ne se le cache pas, il sait qu'il préfère les hommes, mais ne le crie pas sur tous les toits Ϟ il a une fiancée, désignée par sa famille


MILLE SECRETS
En ce moment, je suis: dans l'Hiver Perpétuel
Inventaire:

I show you my world, then you show me yours Ϟ Wylou  Empty
MessageSujet: Re: I show you my world, then you show me yours Ϟ Wylou    I show you my world, then you show me yours Ϟ Wylou  EmptyMer 28 Nov - 20:03

I show you my world, then you show me yours Ϟ Wylou  Tumblr_mb50nmXg5t1re5tcvo1_500

Cela faisait près de deux semaines que je n’étais plus allé à Jordan College. Remettre l’uniforme d’élève modèle m’irrita, surtout que ma mère voulut absolument faire le nœud de cravate, comme elle en avait l’habitude avec Elie autrefois. Je ne supportais pas d’être un vulgaire remplaçant, mais je m’étais montré conciliant : toujours un peu affaibli par une énième maladie, je n’avais pas envie de protester, encore moins me battre avec mon paternel. Il voulait ménager ma mère à tous prix, oubliant sans doute que c’était moi le plus triste dans cette histoire. Pour une fois, j’avais été absent non pas parce que j’avais escaladé le mur de l’école qui donnait vers l’extérieur et la liberté, mais parce que j’étais resté cloué au lit des jours durant, toux et fièvre à l’appui. Kari était tout aussi heureux que moi de retourner dans le temple de l’ennui. L’enceinte de l’établissement me parut davantage lugubre et sévère que d’ordinaire, et les regards en coin de mes petits camarades accentuaient cette ambiance pas très accueillante. Ne pas avoir d’amis ne m’affectait guère, je les terrorisais, c’était bien plus amusant. Du moment que j’avais quelqu’un pour faire des devoirs à ma place, tout était parfait. « Tu comptes rester toute la journée ? » Kari semblait sceptique. Il trottinait à côté de moi, si adorable malgré son caractère grognon, et je savais qu’il connaissait mes plans pour la journée. Je ne tarderais pas à quitter les cours qui me lassaient terriblement pour aller vagabonder dans les rues populaires d’Oxford. J’adorais ça. Même si j’aimais tout particulièrement les yeux écarquillés des gens lorsqu’ils me voyaient déambuler dans mon beau costume aux initiales de Jordan College, il m’arrivait de plus en plus souvent de changer de vêtements afin de passer inaperçu dans la foule. Il fallait dire que ce n’était pas sans risque d’être un riche parmi les pauvres et je n’avais pas non plus envie de me faire prendre. « Tu sais bien que non. Je vais juste faire bonne figure pour les premières leçons. » J’éprouvai quelques difficultés à tenir cet engagement, bâillant à maintes reprises devant des professeurs vaguement intéressants. Je n’attendais que la pause pour m’enfuir de ces classes oppressantes dans lesquelles il ne se déroulait jamais rien.

Enfin, l’heure de providence arriva et je me faufilai rapidement jusque dans la cour. Je me dirigeai vers le pan de mur le plus à l’abri des regards des surveillants, il n’y avait pas meilleur endroit pour disparaître en toute discrétion. L’architecture du bâtiment le mettait à l’écart et l’empêchait d’être baigné de lumière, c’était idéal. Il suffisait d’une once d’agilité et on se retrouvait dehors en moins de deux. Pourtant, alors que je n’étais plus qu’à quelques mètres de ma porte de sortie, quelque chose au coin de mon œil happa mon attention. Cela ressemblait à une silhouette humaine, selon moi, mais je n’en étais pas sûr. Je fis aussitôt volte-face, scrutant les luxueuses colonnes sculptées de l’école. Personne, pas même un étudiant qui aurait perdu son chemin et serait tombé sur celui des mauvais garçons. Néanmoins, Kari était sur la défensive et ses instincts se révélaient généralement, sinon à chaque fois, fondés. « Tu as vu quelqu’un ? » Il hocha sa tête de cheval miniature et je me penchai légèrement pour essayer d’élargir mon champ de vision à l’arrière des colonnes. Je crus distinguer un morceau de ce qui devait être un félin, assez blanc et tacheté. Et j’espérais fortement qu’il s’agisse bien du daemon auquel je pensais. Ainsi, je m’approchai de quelques pas, presque aussi prudent que l’auraient été Kari et sa méfiance patibulaire. Je n’avais pas appris par cœur l’apparence des daemons de chaque élève et professeur de Jordan College, d’autant plus que certains étaient toujours au stade du changement d’aspect, et j’aurais peut-être mieux fait de décamper illico presto pour ne pas être réprimandé. Cependant, j’avais assez confiance en mon intuition pour qu’un sourire se trace sur mes lèvres au moment où j’appelai : « Wylan ? » Ma voix était, certes, quelque peu hésitante, mais c’était plus pour la forme, pour me rattraper au cas où ce ne serait pas le plaisant gitan qui se tenait caché là, en compagnie de Zephyrel.
Revenir en haut Aller en bas
Wylan Velázquez
Wylan Velázquez
GITANS
• libres comme l'air

ı PSEUDO : Leïlan
ı MESSAGES : 37
ı ARRIVEE : 06/11/2012
ı AVATAR : Francisco L.
ı CREDITS : © Anat •• tumblr
ı DC : nop
ı QUOTE : You have to make the right choice. As long as you don't choose, everything remains possible. © Mr Nobody
ı JUKEBOX : The ride • Milow

ı ÂGE DU PERSONNAGE : Dix-neuf ans
ı OCCUPATION : Libre de faire ce qu'il me plait ~*
ı PARTICULARITES : Atteint d'une maladie respiratoire, seul un remède élaboré par ma mère peut calmer mes crises •• Je suis le fils d'un gitan et d'une sorcière •• mon daemon Zephyrel est un once •• je possède un pingouin nommé Keyro •• mon carnet en cuir m'accompagne partout •• je suis un véritable puzzle, incomplet.

Et ma mission est de résister aux larmes de crocodile de Stitch (Myosotis), quel fourbe, regardez :
I show you my world, then you show me yours Ϟ Wylou  1353460878-tumblr-mcz50qupaw1qih393o1-170
*se cache derrière Seth*



MILLE SECRETS
En ce moment, je suis: dans l'Hiver Perpétuel
Inventaire:

I show you my world, then you show me yours Ϟ Wylou  Empty
MessageSujet: Re: I show you my world, then you show me yours Ϟ Wylou    I show you my world, then you show me yours Ϟ Wylou  EmptyMar 4 Déc - 19:32

I show you my world, then you show me yours Ϟ Wylou  Tumblr_lxer5tMrc71r23tzz

Ma vie n’avait rien d’ordinaire, de tracé. Je pouvais faire ce que je souhaitais, sans me sentir obligé de suivre une voie que le destin aurait déjà imaginé pour moi. Mon père n’aurait jamais eu le cœur de me retenir auprès de lui, même si jusque-là, je n’avais pas encore trouvé le courage de quitter ma famille, mon clan. Peut-être parce que j’avais le sentiment que si Maël me cherchait, c’était là qu’il viendrait en premier. Sur les bateaux où nous avions grandi. Mais s’il m’attendait quelque part, incapable de rentrer ? Le doute ne cessait de m’envahir et j’étais persuadé qu’un jour, je partirais à sa recherche, ne pouvant plus repousser le voyage, un jour de plus. Autrefois, j’avais imaginé que nous partirions ensemble à la découverte de terres lointaines. Mais peut-être qu’au fond, ce trajet nous devrions le faire séparément et j’avais encore le plus grand mal à l’accepter. Même si les miens semblaient avoir accepté sa mort - évidente à leurs yeux, je restais convaincu qu'il était forcément là quelque part et rien ne pourrait jamais m’empêcher de le retrouver. En attendant, j’errais dans les rues d’Oxford, de Londres ou de n’importe quelle autre ville, au grès de nos déplacements, de notre vie de nomade. Chaque jour était une nouvelle aventure, une nouvelle épreuve pour moi. Pourtant, j’avais décidé de me lever le matin et de suivre la moindre de mes lubies, de foncer tête baisser, m’enfonçant toujours un peu plus dans ce comportement destructeur qui les effrayait tant. Depuis quand n’avais-je pas avaler ce foutu remède ? Combien de temps allais-je tenir sans faire une crise ? Le danger ne me faisait pas peur. Au contraire, il entraînait une certaine euphorie et dans ma douleur, je me sentais vivant. Sinon, comment pouvais-je savoir si je n’étais pas déjà mort ? Condamné à ne plus avoir d’autre but que de récupérer ma vie passée. Et qui pouvait mieux comprendre cet état d’esprit que Stitch, mon mystérieux ami qui étudiait au Jordan Collège et dont le frère jumeau avait lui aussi disparu, du jour au lendemain dzns de mystérieuses circonstances ? Certes, je devais admettre que sa compagnie n’avait rien d’ordinaire et peut-être que c’était justement ce qui me plaisait tant chez lui. Quand bien même nous étions si différents.

Cependant, celui faisait quelques temps déjà qu’il n’avait pas partagé l’une de mes escapades. Peut-être qu’il avait mieux à faire, ou qu’il avait enfin retrouver sa vie d’avant. Quand la blessure n’était pas encore là. A cette pensée, je ne pouvais m’empêcher d’être jaloux. Mais bien vite, je réalisais que ce n’était qu’une illusion et que j’avais imaginé tout ça. Stitch était sûrement retenu en cours, ou bien il était malade. Et tout ça m’avait donné une idée… Aujourd’hui, j’irais m’infiltrer dans le Jordan Collège, afin de découvrir ce qui se cachait derrière ces vieux murs en pierre. Pénétrer dans cette école si prestigieuse et inaccessible était un défi que je ne m’étais encore jamais lancé, me contentant de traîner dans les environs pour retrouver les rares élèves qui acceptaient de me parler. N’allez pas croire qu’il s’agissait d’un acte banal dans leur monde, d’oser côtoyer un homme de la mer, un simple gitan. Pour leurs parents, nous étions de la vermine, et c’était de nous qu’ils parlaient lorsqu’ils leur interdisaient de s’approcher des inconnus et des personnes peu recommandables. Mais c’était sans compter l’esprit de contradiction de certains de leurs chers chérubins. Et pour mon plus grand plaisir, ces derniers acceptaient de quitter leur bulle confortable pour se confronter au véritable monde derrière les murailles. Un monde où j’aimais me perdre, à la recherche d’une peur que je ne pouvais plus ressentir. La peur de perdre ce qui nous est précieux. Mais je n’avais rien à perdre et peut-être qu’eux non plus. Du moins, lorsqu’ils parvenaient à s’échapper de leur prison dorée.
Néanmoins, après avoir fait le tour des deux établissements ce jour-là, je n’avais vu aucun de mes acolytes aussi bien féminins que masculins. Alors j’avais mis mon plan à exécution. En imaginant qu’il soit possible de parler de plan, lorsque ce dernier consistait à s’introduire dans le bâtiment avant d’improviser une fois à l’intérieur. En effet, avant d’entrer, je n’avais aucune idée de ce que j’allais trouver une fois là-bas. Je n’avais pas de carte détaillée de l’école et j’étais contraint de découvrir par moi-même, au dernier moment, ce qui s’y trouvait. C’était justement ce qui était si excitant dans cette aventure… Escalader le mur n’avait été qu’une formalité. Je les avais si souvent vu sortir en douce de l’établissement que je connaissais l’endroit exact du mur d’enceinte où il fallait grimper pour se retrouver à l’abri des regards une fois à l’intérieur. Ce que j’ignorais en revanche c’était qu’une fois de l’autre côté du mur, je me retrouverais dans la cour de l’école – heureusement déserte à cette heure-ci – et une fois adossé à la paroi froide et rêche, je réalisai soudain que j'étais acculé.

Tant que je restais caché dans l’ombre, j’étais en sécurité, mais ce grand espace désert que je devais traverser afin de rejoindre le bâtiment, m’exposait aux yeux aguerris de n’importe quel témoin. Priant alors pour que personne n’ait l’idée de passer par-là dans les dix prochaines minutes, je me mis à courir, Zephyrel sur mes talons, avant de me cacher derrière l’une des colonnes qui marquaient le début de l’édifice. « Tu es fou… Est-ce qu’il t’arrive de réfléchir ? » Bien sûr que non, sinon ce genre de mission perdait tout son intérêt. Réfléchir, c’était hésiter et finalement abandonner. Et il était hors de question de tourner le dos à tant d’adrénaline. « Calme-toi, ce n’est qu’un jeu… » Un jeu dangereux comme tout les autres. Il le pensait tout autant que moi, mais il préféra se taire à ce sujet. « J’ai entendu un bruit de pas… Je suis certain que quelqu’un nous a vu…. » « Si je ne te connaissais pas, je croirai que tu as peur… » En réalité, je savais qu’il avait peur. Parce qu’il s’inquiétait toujours pour moi. Mais ça n’avait pas d’importance à mes yeux, je voulais seulement me changer les idées, me lancer dans n’importe quelle aventure, tant que celle-ci éloignait mes sombres pensées. « Wylan ? » Surpris d’entendre ainsi prononcer mon prénom dans un lieu où je n’avais clairement pas ma place, je reconnus néanmoins la voix si familière de Stitch. Soulagé que ce soit lui qui me découvre, avant l’apparition inévitable d’une figure d’autorité qui m’aurait fait passé un sale quart d’heure, je me retournai dans sa direction, avant de me pencher lentement, laissant ainsi mon visage s’écarter du poteau. Faussement autoritaire, je posai alors un doigt sur mes lèvres, lui intimant de ne pas ébruiter l’affaire, sinon nous allions avoir de gros ennuis, et je voulais d’abord en découvrir davantage, histoire de ne pas être venu pour rien. « Shhht… Tu vas nous faire repérer… » Malgré les apparences, j’étais content de le voir après tout ce temps. Après tout, il était sans doute le plus disposé à me comprendre, sans compter qu’il serait le guide parfait pour l’escapade que j’avais prévu ce jour-là. Lui adressant un regard plein de sous-entendu, j’ajoutais – une fois qu’il fut plus proche de moi – comme sur le ton de la confidence… « J’avais dans l’idée de visiter les lieux… » Mon regard ne semblait pas quitter le sien, cherchant à découvrir ses intentions. Parce qu’il me semblait évident qu’il était venu jusqu’ici pour quitter l’école et ainsi échapper à ses prochaines heures de cours. Par conséquent, je n’étais pas certain que mon idée lui plaise. Ce qui n’allait pourtant pas m’empêcher de lui exposer ce que j’avais en tête, bien entendu. « Est-ce que ça t’intéresserait de devenir mon guide ? » Conscient qu’il s’attendait sûrement à en tirer un quelconque avantage, puisque s’il prenait le risque de m’accompagner et que nous étions découvert, il en subirait sans doute, de lourdes conséquences, je lui proposais un marché très simple. « Tu pourras décider du programme, ce sera toi l’unique capitaine aujourd’hui… » D’ordinaire, j’étais assez méfiant, je ne lui aurais jamais laissé un tel pouvoir sur ma personne, il le savait. Cependant, s’il prenait des risques, alors je pouvais bien faire quelques concessions, et lui prouver ainsi qu’il pouvait me faire confiance. Je n’étais pas le genre d’homme qui n’avait aucun honneur voyez-vous. Quelle que soit l’image que les siens avaient de mon peuple, nous étions des hommes courageux et notre parole valait bien plus que leurs mensonges.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé



I show you my world, then you show me yours Ϟ Wylou  Empty
MessageSujet: Re: I show you my world, then you show me yours Ϟ Wylou    I show you my world, then you show me yours Ϟ Wylou  Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

I show you my world, then you show me yours Ϟ Wylou

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» all she ever wanted was the world (ella).

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
His Dark Materials :: L'HIVER PERPÉTUEL • MONDE DE RÉFÉRENCE :: JORDAN COLLEGE-